Trajets Domicile-Travail : Entre Confort et Contrainte, une question de choix

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Chaque matin, des millions de Français entament leur journée par un rituel incontournable : le trajet domicile-travail. Ce moment, souvent jugé banal, a pourtant un impact profond sur notre bien-être général.

Selon des études récentes de la DARES, la durée moyenne de trajet pour se rendre sur son lieu de travail est de 50 minutes en moyenne, 68 minutes en Ile de France et 16% ont même un trajet moyen d’1h30 soit 3 heures par jour, 15 heures par semaine ! Il est évident qu’avec ces chiffres, les conditions de ce trajet influencent directement notre humeur, notre bien-être et notre efficacité au travail.

Aussi étrange que cela puisse paraître, depuis bientôt 10 années que je travaille sur ces questions, je n’avais jamais traité ce sujet et c’est pour cela que quand Citroën m’a proposé de m’y pencher, je n’ai pas hésité une seule seconde.

Les résultats du sondage réalisé la semaine dernière sur mon compte Linkedin auprès de 4 233 personnes sont sans appel.

Aujourd’hui, je suis indépendant, je ne connais plus les transports au quotidien, mais je dois bien avouer qu’à l’époque, que ce soit quand j’avais une voiture, un scooter, que je prenais les transports en commun ou que j’utilisais un vélo, je trouvais que ce trajet était une très bonne transition entre ma vie pro et ma vie perso… et j’imaginais que c’était le cas de la plus grande partie d’entre vous… eh bien non.

La Transition Parfaite

Pour 26% des personnes interrogées, le trajet est une « parfaite transition ». Ce temps de trajet est effectivement idéal pour se vider le cerveau, que ce soit en lisant un livre dans les transports, en se dépensant en faisant du vélo ou, dans sa voiture grâce par exemple à des fonctionnalités telles que l'isolation acoustique avancée que propose Citroën, permettant de passer des appels ou d'écouter de la musique sans être dérangé par le bruit extérieur. Je me rappelle qu’en fonction des voitures que j’ai pu avoir… la détente n’était pas vraiment la même !

En dehors de la voiture, de nombreux travailleurs trouvent leur paix en pédalant à vélo ou en marchant, profitant de l'air frais et du calme de la matinée pour se préparer mentalement à la journée à venir ou pour se vider la tête du stress potentiel de la journée avant de revenir chez soi...

Et, idéalement, en faisant évoluer cette transition, elle peut devenir… un plaisir.

Un Plaisir

Bien que moins nombreux, 8% des sondés déclarent trouver un réel plaisir dans leur trajet. Je me garderai bien de faire la liste de tout ce qui peut transformer un trajet en plaisir car cela reste somme toute subjectif, mais il est clair que l’aspect confort est essentiel. Entre être installé assis dans son métro ou être serré version sardine dans la ligne 13 du métro parisien… l’expérience n’est pas la même ; au même titre qu’entre une vieille guimbarde ou une Citroën avec des sièges et des suspensions Advanced Comfort, qui transforment même les routes les plus cahoteuses en un parcours lisse et relaxant, on ne parle pas du même trajet.

Les adeptes d'autres moyens de transport, tels que les vélos, motos ou les scooters, apprécient également la sensation de liberté et l'agilité dans la circulation, offrant une alternative dynamique et engageante aux trajets en voiture. Je dois bien vous avouer que quand je pouvais aller au travail à pied, c’était mon plaisir ultime…

Une Galère

Un autre 26% voient leur trajet comme une galère, sentiment souvent exacerbé par les embouteillages, les rames bondées, les grèves ou les retards… En termes de bien-être, quand on galère sur les trajets domicile/travail et retour, c’est un enfer : on arrive stressé et fatigué au travail, et en fin de journée, le trajet fini de nous épuiser. Très clairement, pour les 26% de répondants qui ont choisi cette option, il est important d’agir.

Oui, je le sais, ce n’est pas toujours possible, mais la technologie peut parfois aider. Par exemple avec les GPS, les analyses de trafic ou le planificateur de trajet eRoute qui optimise les itinéraires et fournit des informations en temps réel sur la recharge des véhicules électriques, réduisant ainsi le stress et l'incertitude. Celles et ceux qui ont connu le temps sans ces technologies voient bien ce dont je veux parler !

Les usagers des transports en commun bénéficient aussi de technologies similaires, avec des applications qui proposent des routes optimisées et des mises à jour en temps réel, minimisant les temps d'attente et les imprévus…. Chose assez étonnante sur l’Ile de France : saviez-vous qu’il est moins désagréable pour les usagers d’avoir un trajet de une heure sans changement qu’un trajet de 30 minutes avec 2 changements ?

Une Contrainte Acceptable

Il est tout de même rassurant de voir que la majorité des répondants (40%) voit leur trajet comme une contrainte acceptable. Depuis l’explosion du télétravail, il est clair que la contrainte n’en est que plus évidente. À quoi bon pour, par exemple, un juriste, avoir 2 heures de trajet par jour pour aller au bureau pour rédiger un contrat qu’il aurait très bien pu écrire en restant chez lui ? Oui, notamment dans les grandes agglomérations, les trajets ne sont pas forcément la partie préférée de la journée, mais cela fait « partie du jeu » alors autant essayer de la rendre utile en réduisant par exemple sa trace carbone et de transformer cette contrainte acceptable… en contrainte utile, non ? Passer d’une motorisation thermique à une motorisation électrique comme le propose certains modèles de Citroën peut aussi être une bonne solution.

Que ce soit en prenant un vélo, en marchant, en faisant du covoiturage ou en utilisant une motorisation électrique ce n’est pas un vœu pieux.

Conclusion

Ce que je trouve rassurant, c’est que quelle que soit notre situation en termes de transports pour se rendre au travail, il existe des solutions pour aller vers un mieux. Au même titre que depuis des années je vous donne des conseils pour améliorer votre quotidien au travail, je suis profondément convaincu que mis à part si vous faites partie de ces 8% qui considère déjà ce trajet comme étant un plaisir, vous pouvez agir pour aller vers un mieux-être. Comme pour notre bien-être au travail, nous ne sommes pas démunis pour agir, le tout est de décider d’agir. Alors… on y va